miércoles, 28 de octubre de 2015

Biographie d’Alexandre Dumas



Biographie d’Alexandre Dumas (1802/ 1870)

Alexandre Dumas est un écrivain français né le 24 juillet 1802 à Villers Cotterêts et mort le 5 décembre 1870 à Dieppe. Il est le fils d’un général d’armé aux origines afro-antillaises et d’une fille d’aubergiste. Orphelin de père à quatre ans, il sera élevé par sa mère et ses grands-parents maternels.

Le jeune Alexandre apprend les bases de l’instruction primaire au Collège de Villers Cottrêts de neuf à treize ans, puis devient coursier dans une étude de notaire. En 1822, il part pour Paris, cherchant à échapper à la pauvreté et aux humiliations quotidiennes que lui et sa mère subissent depuis la mort de son grand-père maternel. Il trouve une place de clerc de notaire. C’est une nouvelle vie pour Alexandre qui découvre la Comédie Française et fait la rencontre d’un des plus grands acteurs de l’époque, Talma. L’année suivante, grâce à la protection du général Foy, il travaille dans les bureaux du secrétariat du duc d’Orléans, et peut faire venir sa mère à Paris. En 1824, c’est la naissance de son fils Alexandre (futur auteur de La Dame aux Camélias), fruit de sa liaison avec Laure L’Abay, couturière. C’est également l’année de son premier succès : un vaudeville écrit avec Adolphe de Leuven, La Chasse et l’Amour. Il écrit son premier drame historique, Henri III et sa cour, en 1828, qui est également un énorme succès. Il connait la notoriété mais dilapide ses revenus, puis écrit beaucoup de pièces médiocres, si bien que le public se lasse. Il passe alors aux romans feuilletons dont le succès est tel qu’il est payé 3 francs la ligne (contre 30 sous à l’époque).


C’est un auteur extrêmement prolifique, avec l’aide notoire de « nègres » et en particulier d’Auguste Maquet, qui a participé à la plupart de ses œuvres. Il signe de grandes fresques historiques telles que les Trois Mousquetaires ou le Comte de Monte Christ en 1844. Candidat malheureux aux élections législatives de 1848, Dumas ne cessera jamais de s’engager : en 1852, comme Victor Hugo, il s’exile momentanément pour protester contre le coup d’Etat de Napoléon III. En 1860, il vend ses biens pour fournir des armes à l’armée de Garibaldi, dont il est un ami et un admirateur. Alexandre Dumas était mulâtre et dût souvent subir les sarcasmes racistes de ses contemporains. Il s’est marié en 1840 avec l’actrice Ida Ferrier, et a eu plusieurs enfants hors mariage : Marie Alexandrine, Elisabeth Cordier, Henry Bauer. Il meurt en 1870, trois mois après un accident vasculaire qui l’avait laissé à demi paralysé. Sa dépouille a été transférée au Panthéon en 2002, à l’occasion du bicentenaire de sa naissance.

Principales œuvres d’Alexandre Dumas:
ü  Napoléon Bonaparte ou Trente Ans de l’Histoire de France (théâtre), 1831
ü  La Tour de Nesle (théâtre) 1832
ü  Crimes célèbres, 1839-1841
ü  Les Trois Mousquetaires, 1844
ü  Vingt ans après, 1845
ü  Le Comte de Monte Christ, 1845
ü  La Reine Margot, 1845
ü  La Dame de Monsoreau, 1846
ü  Les Quarante-Cinq, 1847
ü  Le Collier de la Reine, 1849
ü  La Tulipe Noire, 1850

lunes, 26 de octubre de 2015

Œuvre Napoléon Bonaparte


Œuvre Napoléon Bonaparte       

Titre : Napoléon Bonaparte ou Trente ans de l'Histoire de France
Année de publication : 1831
Genre : Théâtre
Collaborateur(s) : Cordellier-Delanoue
Epoque du récit : 1793-1821

Résumé :
En 1793, devant Toulon, Bonaparte s'attache un espion qu'il vient de sauver du peloton d'exécution (Acte I). Bien plus tard, la veille du couronnement, à la Foire de Saint-Cloud, un conspirateur royaliste tente d'assassiner le Premier Consul; l'espion le sauve (Acte II). Lors de la campagne de Russie, l'Empereur entre dans Moscou déserte que les Russes incendient; l'espion le sauve à nouveau de la mort (Acte III).

Aux Tuileries, un an après, l'espion lui annonce une conspiration royaliste. Napoléon organise la défense de Paris, mais, abandonné de tous, il abdique (Acte IV). Exilé à l'île d'Elbe, Napoléon reçoit de l'espion des nouvelles réconfortantes de France. Il reprend l'offensive: ce sont les Cent Jours (Acte V). À Sainte-Hélène, l'espion veille toujours sur son maître. Lorsque Napoléon meurt, le gouverneur anglais Hudson-Lowe le fait fusiller (Acte VI).

Analyse :

Dumas rappelle dans sa préface, à propos des difficultés rencontrées par son drame, qu'en 1830, six théâtres proposaient un Napoléon. Il dit avoir rédigé le sien en neuf jours. Il lui ne fallut pas moins de six actes (et 23 tableaux), comme 70 ans plus tard à Rostand pour L'Aiglon. Ce n'est pas la plus longue pièce de Dumas: La Conscience est aussi en six actes, et certaines adaptations de romans duraient très longtemps (9 heures pour La Reine Margot, et quatre «soirées» pour Monte Christ, quatre pièces de cinq actes chacune, 37 tableaux en tout!). Accueillie avec enthousiasme mais retirée au bout de quelques jours, la pièce ne dut pas avoir le succès escompté, et posait aussi évidemment problème sur le plan politique; certains événements étaient encore très proches, et nous étions au tout début de la monarchie de juillet.


Dumas s'explique de tout cela dans la préface. Théâtralement, il s'agit davantage d'une fresque épique (76 personnages), d'une succession de tableaux historiques, que d'un drame à proprement parler. Le «liant» entre toutes ces scènes un peu disparates c'est bien sûr l'empereur Napoléon, mais aussi et surtout l'Espion, un des premiers grands héros romantiques de Dumas avec Antony et Yaqoub (de Charles VII), bâtard magnifique portant haut l'étendard de la mélancolie. C'est Lockroy qui interpréta le rôle, Frédérick Lemaître jouant Napoléon. Un autre «liant», comique celui-là, c'est le solliciteur La bretèche, qui retourne sa veste de tableau en tableau au gré des changements gouvernementaux! 

Ce sujet qui hanta les romantiques pendant près d'un siècle, de Hugo à Rostand, Dumas le reprit sur scène vingt ans plus tard au moment où un autre Napoléon, Prince Président encore pour quelques mois, préparait son coup d'Etat: il s'agit de La barrière de Clichy, dont l'action plus ramassée dans le temps se situe au moment des Cent Jours et où est réintroduit le personnage du fidèle Lorrain.

domingo, 25 de octubre de 2015

Œuvre La tour de Nesle


Œuvre La tour de Nesle

Titre : La tour de Nesle
Année de publication : 1832
Genre : Théâtre
Collaborateur(s) : Frédéric Gaillardet
Epoque du récit : 1314


Résumé la Tour de Nesle :

Philippe d'Aulnay vient d'arriver à Paris pour retrouver son frère jumeau Gaultier, capitaine très aimé de la reine Marguerite de Bourgogne. Dans la taverne d'Orsini, il rencontre Buridan arrivé comme lui depuis quelques jours pour chercher fortune. Comme ils ont tous deux reçu la même invitation à un mystérieux rendez-vous d'amour dans la nuit, Gaultier les somme d'être prudents. En effet depuis quelques temps, la Seine rejette presque chaque jour au niveau de la tour de Nesle trois cadavres de nobles et beaux jeunes hommes étrangers à la ville.  Le lendemain, on retrouve deux corps dans la Seine dont celui de Philippe d'Aulnay. Buridan a pu s'échapper de la tour de Nesle grâce à Landry, un de ses anciens compagnons d'armes, qui l'a laissé sauter par la fenêtre en faisant croire à son maître Orsini qu'il était mort comme les autres.

Buridan a reconnu en leurs étranges partenaires masquées la reine Marguerite et ses deux sœurs. Déterminé à arrêter ces méfaits, il obtient un rendez-vous avec Marguerite. Il lui dévoile alors qu'il est un rescapé de cette terrible nuit. Il veut une nomination au poste de premier ministre, sinon Gaultier d'Aulnay, que la reine aime tendrement, saura qu'elle est responsable de la mort de son frère Philippe. La reine ne peut qu'accepter, mais profitant de la faiblesse de Gaultier à son égard, elle lui soustrait la preuve que Buridan avait confiée à celui-ci et fait mettre Buridan dans un cachot de la prison du Châtelet. Marguerite ne peut cependant résister à l'envie d'aller triompher devant lui, ce dont il profite pour utiliser son ultime recours: un secret datant de sa jeunesse à la cour du roi Robert, le père de Marguerite. Son vrai nom est Lyonnet de Bournonville, il a été l'amant de Marguerite dont sur les instances de celle-ci, il a tué le père parce qu'ayant découvert qu'elle était enceinte, il voulait l'envoyer dans un couvent. Buridan est en outre en possession d'une lettre de Marguerite le chassant après le fait accompli...

Devant la menace de faire donner cette lettre au roi Louis X par Landry, Marguerite cède encore une fois la rage au cœur et Buridan devient premier ministre. En contrepartie de l'éloignement de Gaultier en province, Buridan propose à Marguerite de lui rendre sa lettre le soir même à la tour de Nesle, sachant pertinemment que les sbires de la souveraine l'attendront pour le tuer.  Il y envoie Gaultier à sa place, dont la soumission à la reine est telle qu'elle lui fait oublier le sens de l'honneur et, pour prendre la reine en flagrant délit d'adultère, ordonne à ses gardes d'arrêter quiconque sera à la tour de Nesle dans la nuit. Mais quand Landry lui apprend que les enfants dont Marguerite a accouché n'ont pas été tués mais abandonnés avec une marque sur le bras gauche, marque que Buridan a vu sur le bras de Philippe et Gaultier d'Aulnay, il court à la tour de Nesle pour essayer d'empêcher l'irréparable. Mais il arrive trop tard. Gaultier meurt en maudissant sa mère et Buridan et Marguerite sont arrêtés.


Analyse de l'oeuvre :

La tour de Nesle, drame en cinq actes et neuf tableaux, a été représentée pour la première fois le 29 mai 1832 au théâtre de la Porte Saint-Martin. Les tableaux nous font passer successivement par la taverne d'Orsini, la tour de Nesle, le Louvre (intérieur et extérieur), un cachot et une taverne, avant de finir à la tour de Nesle. Cette pièce a été un des succès les plus retentissants et les plus prolongés du théâtre de l'époque, ce qui lui a valu d'éviter la censure en 1836 (menacée par Thiers). Elle a toutefois été interdite en 1853 (par Persigny) puis de nouveau autorisée en 1861 sous réserves de modifications. Mais elle est aussi connue pour la polémique au sujet de sa paternité, qui a débouché sur un procès de Gaillardet à l'encontre de Dumas avant de finir par un duel au pistolet entre les deux hommes, heureusement sans conséquences mortelles ni pour l'un ni pour l'autre.

Dans ses Mémoires (chapitres CCXXXIV à CCXXXVII), Dumas explique que c'est le directeur de théâtre Harel qui est en fait à l'origine de cette querelle: il est venu le voir en lui demandant de retoucher un manuscrit d'un jeune homme de Tonnerre, Frédéric Gaillardet, alors que celui-ci n'était pas au courant. Dumas refait le drame mais ne veut pas être nommé lors des représentations. Harel détourne cette promesse en mettant sur l'affiche: «de MM *** et Gaillardet». Ce qui n'aura pas l'heur de plaire à ce dernier. En 1861, Gaillardet reconnaîtra toutefois le rôle capital de Dumas dans l'écriture de la pièce.

La tour de Nesle s'attaque donc au personnage de Marguerite de Bourgogne, la reine sanglante qui tuait ses partenaires d'orgie d'une nuit afin qu'ils ne puissent la reconnaître. Buridan, ancien amant ressurgissant du passé pour se faire justicier, deux jeunes gens dont on sait à la fin qu'ils sont les enfants de Marguerite et Buridan et qui meurent par la faute de leur mère, Buridan voulant piéger Marguerite et qui tombe avec elle: tous les ingrédients du drame sont là avec en trame principale la lutte que se livrent Buridan, un aventurier plein de ressources, et Marguerite de Bourgogne, reine profitant outrageusement de sa puissante position. La scène du cachot, dans laquelle le prisonnier (Buridan), sans plus aucun espoir de s'échapper compte pour se libérer sur la venue de son ennemie (Marguerite) cédant au désir de venir le narguer, est devenue un classique souvent repris par la suite dans de nombreux romans d'aventures. Il est d'ailleurs étonnant que Dumas ne soit jamais revenu sur cette période dans ses livres. On aurait bien vu un roman de lui tiré de cette pièce. Il existe d'ailleurs un roman d'Henri Demesse intitulé La tour de Nesle, paru sous le double nom de Dumas et Gaillardet, dans lequel l'auteur reconnaît à la fin de ce livre de plus de 1700 pages «avoir fait un roman tiré du célèbre drame de Gaillardet et Dumas».


viernes, 23 de octubre de 2015

Œuvre Les crimes célèbres


Œuvre Les crimes célèbres

Titre : Les crimes célèbres
Année de publication : 1839-1840
Genre : Histoire

Résumé :

Les Crimes célèbres sont un recueil de récits consacrés à des criminels ou des victimes célèbres. Les périodes couvertes sont variables, allant de la Renaissance à l'époque contemporaine de Dumas. Les dix-huit histoires traitées sont: Les Cenci, La marquise de Brinvilliers, Karl Ludwig Sand, Marie Stuart, La marquise de Ganges, Murat, Les Borgia, Urbain Grandier,Vaninka, Massacres du Midi, La comtesse de Saint-Géran, Jeanne de Naples, Nisida, Derues, Martin Guerre, Ali Pacha, La Constantin, L'homme au masque de fer.


Analyse :
Seules l'édition originale et l'édition Phébus regroupent l'intégralité des récits. Il y a eu toutefois de nombreuses rééditions avec des contenus très variables. Il est à noter que ces Crimes célèbres ne figurent ni dans la fameuse édition Le Vasseur «Alexandre Dumas illustré», ni dans celle de Calmann-Lévy. Si Dumas a écrit seul la plupart des histoires, quelques-unes ont été rédigées avec des collaborateurs qui ont signés avec lui (ce qui par la suite a été plutôt rare).

Ainsi :
Nisida a été écrite avec Pier Angelo Fiorentino.
DeruesLa Constantin et L'homme au masque de fer avec Auguste Arnould.
Martin Guerre avec Narcisse Fournier.
Ali Pacha avec Félicien Malefille.


Pour ce recueil, Dumas a fait un énorme travail de recherche et de documentation. Mais c'est un Dumas tel que nous ne le connaissons pas que nous découvrons à travers ces Crimes célèbres. En effet, il décrit l'action au lieu de la faire vivre à travers des personnages, il n'utilise pas de dialogues, ce qui déconcerte un peu et fait que quelquefois on s'ennuie. Mais bien qu'il se contente d'énoncer des faits, dans la plupart des récits l'auteur souligne que les grands crimes sont rarement le fait de seuls individus mais le résultat d'injustices, d'oppressions et d'inégalités. Ces Crimes célèbres peuvent être considérés comme faisant partie des œuvres historiques qui mèneront plus tard aux grands romans de la maturité. D'ailleurs, quelques personnages referont leur apparition par la suite dans des romans comme Le Masque de fer, Urbain Grandier, Martin Guerre, Marie Stuart.

jueves, 22 de octubre de 2015

Les 3 Mousquetaires


Les 3 Mousquetaires d'Alexandre Dumas

Ce roman de cape et d'épée, écrit en collaboration avec Auguste Maquet a d'abord été publié en feuilleton dans Le Siècle du 14 mars au 14 juillet 1844. Puis il fut publié chez Baudry la même année. Il constitue le premier volet d'une trilogie qui comprend aussi Vingt ans après (1845) et Le Vicomte de Bragelone (1850) qui transportera les lecteurs de la régence d'Anne d'Autriche jusqu'aux premières années du règne de Louis XIV.
Pour écrire ce roman, Alexandre Dumas s'est inspiré des mémoires de M. D'Artagnan, œuvre de Courtilez de Sandras (1709)
Ce roman de Dumas est l'un des romans le plus traduits dans le Monde.


Résumé du roman
Les 67 chapitres de ce roman racontent l'histoire d'un jeune gascon, d'Artagnan, venu chercher fortune à Paris. L'action se situe en 1625, sous le règne de Louis XIII. Le jeune gascon, courageux et rusé, est muni d'une lettre de recommandation de son père pour M. de Tréville, commandant des Mousquetaires. Très vite, d'Artagnan devient l'ami de trois gentilshommes, mousquetaires du roi, Athos (comte de la Fère), Porthos (du Vallon) et Aramis (Chevalier d'Herblay). Une vieille rivalité oppose les mousquetaires du roi aux gardes du Cardinal de Richelieu. Le quatuor se constitue d'ailleurs, à la suite d'un combat victorieux contre les gardes du Cardinal.
Athos, le comte de la Fère, a été ruiné par un tragique mariage avec une aventurière; Porthos, un géant, dont le véritable nom est du Vallon, est un compagnon plutôt débonnaire ; Aramis, chevalier d'Herblay, oscille, lui, constamment entre le mysticisme et amours galantes.
Les quatre amis au service du couple royal vont sauver la reine Anne d'Autriche des perfides manœuvres de Richelieu. Sur une insinuation du cardinal, le roi invite la reine à porter, lors du prochain bal de la cour, les douze ferrets de diamants, qu'il lui a naguère offerts. Or celle-ci a donné la précieuse parure à son amant, le duc de Buckingham.
D'Artagnan va se retrouver aux prises avec la perfide Milady de Winter, redoutable agent du cardinal, qui s'avère être aussi l'ancienne épouse d'Athos. Il va tomber également amoureux de Constance de Bonacieux, fidèle femme de chambre de la reine Anne d'Autriche.

D'Artagnan et ses amis sont chargés de récupérer les bijoux en Angleterre. Ils doivent affronter les agents de Richelieu, menés par le sombre Rochefort, et surtout Milady. Poursuivis par les gardes de Richelieu, au terme d'un parcours semé d'embûches, d'Artagnan et les Trois Mousquetaires réussissent à rapporter les ferrets à la reine. Alors que les mousquetaires brillent à nouveau au siège la Rochelle, Milady, qui a commandité le meurtre de Buckingham et empoisonné Constance Bonacieux, femme de chambre de la reine et aimée de d'Artagnan, est arrêtée et exécutée. D'artagnan, réconcilié avec le cardinal de Richelieu est promu lieutenant. Athos se retire à a campagne, Porthos se marie et Aramis devient prêtre.